Jesus Caritas, accompagné du symbole du “cœur et de la croix”, était le moyen que Charles utilisait pour signer ce qui lui appartenait et ce qu’il écrivait, pour orienter tout à l’amour de Jésus.
Jesus Caritas est le nom de la fraternité principale des Disciples de l’Évangile. Il exprime le souhait que ce lieu soit le cœur de la vie fraternelle et de la spiritualité de toutes les sœurs et le lieu de la “croix”, qui alimente et rend authentique la relation avec Jésus.
La fraternité principale Jesus Caritas est le “cœur” de la fraternité tout entière des Disciples de l’Évangile, c’est la maison à laquelle toutes les sœurs font référence pour vivre les temps de prière, de fraternité, d’échanges et de formation.
C’est une fraternité locale particulière qui réunit la Responsable générale, une partie du conseil et des sœurs de générations diverses, des plus âgées aux plus jeunes du Noviciat.
La vie quotidienne est rythmée par la prière commune, le travail à la maison et à l’extérieur, le service dans les paroisses proches et dans d’autres réalités sociales et culturelles du territoire.
La maison est ouverte à l’accueil des personnes qui désirent partager avec les sœurs la prière et la vie fraternelle. Elle propose aussi des initiatives adressées en particulier à qui veut faire l’expérience de l’écoute de la parole de Dieu et approfondir la spiritualité de Charles de Foucauld.
Nos fraternités sont ouvertes à tous ceux qui souhaitent partager des moments de prière communautaire ou trouver un lieu pour vivre une prière personnelle.
La fraternité a pour nom celui du village de la Samarie qui voit la rencontre de Jésus avec une femme du lieu, racontée dans l’Évangile de Jean (Jn 4,1-30). C’est une rencontre importante, qui “vainc” la barrière de la division et des préjugés et donne “l’eau vive” en offrant à la femme une qualité de vie neuve.
Notre fraternité est un lieu ouvert à la rencontre de l’autre de diverses manières : dans l’accueil des femmes qui se trouvent en situation de besoin et de marginalité, dans l’amitié simple avec les personnes des autres cultures et religions, dans le partage de la vie ouverte à tous ceux qui cherchent un lieu de fraternité.
Sykar est aussi la fraternité qui accueille les jeunes des premières années de formation à la vie religieuse et offre, à ces jeunes qui le désirent, la possibilité d’expérimenter ensemble et simplement la bonne vie de l’Évangile, selon le style quotidien de Nazareth, aimé et vécu par frère Charles de Foucauld.
Nos fraternités sont ouvertes à tous ceux qui souhaitent partager des moments de prière communautaire ou trouver un lieu pour vivre une prière personnelle.
Nous sommes présentes à Viviers, en Ardèche, depuis 2010. C’est la première fraternité que nous avons ouverte à l’étranger et dans un lieu foucauldien : c’est en effet, ici, dans la chapelle de la maison diocésaine « Charles de Foucauld » (ancien séminaire) que frère Charles a été ordonné prêtre le 9 juin 1901.
De nombreuses personnes, croyantes et non croyantes, passent par cette maison, qui abrite en partie les bureaux du diocèse et un hôtel. Notre fraternité vise à être une présence d’accueil et de prière fraternelle que nous partageons avec toutes celles et ceux qui souhaitent y participer.
Dans certaines pièces, sont conservées les archives de Saint Charles de Foucauld qui rassemblent ses manuscrits et certains objets lui ayant appartenu. En valorisant ce précieux matériel, nous cherchons à faire connaître la figure de Charles de Foucauld, sa spiritualité et cherchons à actualiser son message : c’est l’une des « missions » que le diocèse nous a confiées. À cela s’ajoute la responsabilité diocésaine du service des vocations et de l’animation pastorale dans deux écoles catholiques du secteur et auprès du groupe d’adolescents de la paroisse : autant d’occasions précieuses pour construire des relations simples et fraternelles et découvrir, dans la rencontre, l’amour de Dieu qui nous précède.
Nos fraternités sont ouvertes à tous ceux et celles qui désirent partager avec nous un moment de prière communautaire ou trouver un lieu pour la prière personnelle.
Depuis le 7 octobre 2015, nous avons ouvert une fraternité en France, à Marseille, dans la cité La Solidarité, dans les quartiers Nord, au 17ème étage.
Nous avons choisi de venir à Marseille car c’est une ville de rencontres et de passages, qui nous immerge immédiatement dans la pluralité ethnique et religieuse. Charles de Foucauld y passait aussi souvent, lors de ses voyages entre la France et l’Algérie. Il était très attaché à certains lieux de prière : le sanctuaire marial de Notre-Dame de la Garde (patronne de Marseille) et la Sainte Baume, où, selon la tradition, Marie-Madeleine a vécu et y est morte.
Être ici nous donne l’occasion de vivre notre spiritualité à travers la proximité simple et discrète auprès des personnes que nous rencontrons : sur le palier, dans l’ascenseur, dans la rue…
Sur l’exemple de Charles de Foucauld, notre désir est de partager le quotidien de ces personnes, de connaître leur culture, leur religion, d’apprécier leur richesse et leur bonté, avec la conviction que derrière leur visage se cache la présence du Seigneur. Nous essayons de tisser des liens de fraternité, d’amitié et de communion avec chaque personne, croyante ou non.
Dans notre appartement il y a un petit oratoire, où nous prions au milieu de beaucoup de familles, avec leurs histoires, leurs difficultés et leurs joies. Nous unissons notre prière à celle des nombreux croyants musulmans et nous sommes également en communion avec la petite mais vivante communauté chrétienne présente dans cette cité, à l’exemple du frère Charles, le frère universel.
Nos fraternités sont ouvertes à tous ceux et celles qui désirent partager avec nous un moment de prière communautaire ou trouver un lieu pour la prière personnelle.
En octobre 1901, après son ordination sacerdotale, Charles s’installe en Algérie, à Beni Abbès ; dans les lettres écrites au cours de ces mois, Charles parla plusieurs fois à différentes personnes de cette maison qui devint un lieu d’accueil et de fraternité.
D’où le nom choisi pour notre fraternité Beni Abbès, insérée dans le centre paroissial « Don Ernesto Bordignon » de Castelfranco Veneto, dans un quartier résidentiel d’environ 2000 habitants.
Divers bénévoles laïcs collaborent avec les sœurs, avec lesquelles sont menées des initiatives d’agrégation et de rencontres gratuites.
L’hospitalité est un aspect de notre spiritualité qui nous caractérise ; pour cette raison, nous voulons vivre des relations d’amitié, d’écoute et de soutien, tant avec ceux qui fréquentent notre maison qu’avec ceux que nous visitons.
Nos fraternités sont ouvertes à tous ceux qui souhaitent partager des moments de prière communautaire ou trouver un lieu pour vivre une prière personnelle.
Emmaüs est la fraternité qui se situe au sein de la “Maison d’accueil Margherita”, structure préparée par la paroisse pour accueillir les pèlerins qui viennent visiter les lieux de naissance et d’enfance de Saint Pie X.
Notre fraternité est ouverte à ceux et celles qui cherchent un espace de silence et de prière ou qui désirent partager avec nous quelques jours de vie ordinaire, de relations simples. C’est aussi un lieu d’accueil pour les personnes qui sont dans le besoin. Nous croyons qu’à travers l’expérience de la fraternité et de l’accueil passe le don réciproque de ce que vit chacune de nous.
Nous avons choisi d’appeler notre fraternité Emmaüs parce que nous désirons nous approcher, comme Jésus, des personnes que nous rencontrons chaque jour (au travail dans le milieu éducatif, dans la vie ordinaire, dans la pastorale…) pour partager avec eux une expérience de foi.
Comme les disciples se réjouissent et reconnaissent Jésus à la fraction du pain, nous aussi nous désirons témoigner de la joie de la rencontre avec Lui, dans la prière, lors de l’adoration Eucharistique, en contemplant les faits de la vie quotidienne à la lumière de l’Evangile.
Vivre à Riese offre aussi l’occasion de réfléchir à la sainteté de la vie du Pape Pie X et de celle de chacun de nous, en ayant la conviction que la sainteté est pour tous et se vit dans les lieux concrets où le Seigneur nous a mis, comme nous l’a montré Charles de Foucauld durant toute son existence.
Notre fraternité est ouverte à tous ceux et celles qui désirent partager avec nous un moment de prière communautaire ou trouver un lieu pour la prière personnelle.
Nazareth est le lieu où Jésus a vécu pendant trente ans, partageant la vie ordinaire des personnes de son temps, dans la vie humble et cachée.
Cette “petite vie” a été la raison de la recherche passionnée de Charles de Foucauld qui désirait vivre l’imitation de Jésus.
Notre fraternité, (ouverte en 2002), s’appelle Nazareth parce qu’elle cherche à être ce lieu de vie simple et fraternel, rythmé par le travail, la prière commune et le service. Elle se trouve parmi les maisons du centre historique de Trévise : ceci permet de rencontrer la ville à travers ses richesses, et de la laisser nous interpeller par ses pauvretés et ses contradictions.
Notre fraternité, durant les années de présence, s’est caractérisée comme un lieu d’écoute, de partage, d’amitié et d‘accueil de personnes se trouvant dans une situation de besoin, en collaboration avec les institutions civiles et ecclésiales du territoire.
Insérées dans la paroisse de la Cathédrale, nous sommes proches de la vie de l’Église diocésaine. Les différents moments de prière quotidienne (Laudes, messe et adoration…) sont vécus dans la Cathédrale avec les prêtres et les personnes qui fréquentent habituellement cette communauté paroissiale ou avec ceux qui sont de passage pour les études ou le travail.
Notre volonté est celle de vivre toujours plus la bonne vie de l’Évangile, selon le style de Nazareth.
Notre fraternité est ouverte à tous ceux et celles qui désirent partager avec nous un moment de prière communautaire ou trouver un lieu pour la prière personnelle.
La fraternité Assekrem se trouve dans la vallée de Livinallongo del Col di Lana, dans le massif montagneux des Dolomites.
Selon le style de Charles de Foucauld, elle veut être un lieu d’attention à la vie spirituelle : dans la prière personnelle et commune, dans la valorisation de la vie quotidienne et dans la contemplation de l’histoire et de la création.
Après des travaux de rénovation et d’agrandissement, la fraternité continue l’expérience d’accueil que nous vivons dans ce lieu depuis plus de 40 ans.
Charles de Foucauld, alors qu’il était en Algérie, à Tamanrasset, souhaita construire un ermitage à l’Assekrem, dans l’objectif d’y séjourner à certaines périodes de l’année pour avoir un espace de solitude et de contemplation, mais aussi pour rencontrer les Touaregs, qui se rendaient dans les montagnes de l’Assekrem pour faire paître leurs troupeaux.
Dans une lettre à sa cousine Marie de Bondy, Charles partage son expérience à l’ermitage :
L’ermitage est on ne peut plus commode ; la chapelle est très recueillie et très bien ; la chambre est claire et assez grande […] La vue est plus belle qu’on ne peut ni le dire, ni l’imaginer. Rien ne peut donner une idée de la forêt de pics et d’aiguilles rocheuses qu’on a à ses pieds : c’est une merveille […] Cela vous consolerait de voir une si merveilleuse nature : On ne peut la voir sans penser à Dieu ; j’ai peine à détacher mes yeux de cette vue admirable dont la beauté et l’impression d’infini rapprochent tant du Créateur… (Lettre à Marie de Bondy, 9 juillet 1911)
A ceux qui viennent passer un ou plusieurs jours, nous proposons :
Notre fraternité est ouverte à tous ceux et celles qui désirent partager avec nous un moment de prière communautaire ou trouver un lieu pour la prière personnelle.
“Jésus sortit de nouveau le long de la mer ; toute la foule venait à lui, et il les enseignait“ (Mc 2,13).
Une période particulière de la vie de Jésus se déroule le long du lac de Tibériade : il ne s’agit ni de la vie de la famille dans la maison de Nazareth, ni, encore, de la révélation définitive, qui s’accomplit à Jérusalem. C’est le moment où Jésus rencontre de nombreuses personnes.
Pour notre spiritualité des Disciples de l’Evangile, San Giuliano Milanese rappelle sur tant d’aspects ce que Tibériade a été pour Jésus. Nous vivons dans une réalité qui est un point de rencontre de cultures et de religions diverses : C’est une opportunité précieuse d’ouverture et de dialogue. Notre fraternité, présente depuis septembre 2006 au sein de la paroisse San Carlo Borromeo, dans ce contexte urbain et sur les lieux de travail, cherche à être :
Notre fraternité est ouverte à tous ceux et celles qui désirent partager avec nous un moment de prière communautaire ou trouver un lieu pour la prière personnelle.
Une de nos fraternités est présente dans un quartier de la périphérie ouest de Milan, sur la rue Quarti, à Baggio.
Notre fraternité se trouve dans l’un des nombreux appartements sociaux de cette rue complexe, habitée par des personnes de diverses nationalités, cultures et religions. Notre présence ici, en étroite collaboration avec le diocèse de Milan et la paroisse de Sant’Anselmo da Baggio, veut être le signe d’une Église qui veut sortir dans les rues du monde pour être proche de tous.
Nous vivons notre vie religieuse en suivant l’exemple de Charles de Foucauld, qui voulait être le frère de tous ceux qu’il rencontrait, qui désirait être le frère universel.
En partant des petites occasions que nous offrent la vie quotidienne et la vie en cité, nous souhaitons partager la vie du quartier et ainsi, avec chacun de ses habitants, accueillir et cultiver ces « graines » de bonté et de beauté déjà présentes qui sont les semences du Royaume.
En sentant particulièrement vraie l’intuition de Charles de Foucauld : « Mon apostolat doit être celui de la bonté. En me voyant on doit se dire : Puisque cet homme est si bon, sa religion doit être bonne », nous souhaitons que notre vie dans la rue Quarti et notre engagement à tisser de bonnes relations et à chercher la communion puisse contribuer à favoriser des occasions de rencontres, d’écoute et d’accueil mutuel.
Notre fraternité est ouverte à tous ceux et celles qui désirent partager avec nous un moment de prière communautaire ou trouver un lieu pour la prière personnelle.
Qui est Marie de Magdala ? Une femme pécheresse qui s’est laissée toucher par l’amour de Jésus. C’est à elle que Jésus ressuscité apparait le matin de Pâques : « Ne me retiens pas… Va trouver mes frères… » (Jn 20,17). La rencontre avec le bon Maître a changé sa vie et l’a poussée à être une femme missionnaire de ce même amour.
Charles de Foucauld lui donne une place toute spéciale parmi ses « amis saints ». Il se souvient avec beaucoup d’affection de sa fête liturgique, le 22 juillet, et il se rend plusieurs fois en pèlerinage à la Sainte Baume, la grotte près d’Aix-en-Provence, où, selon la tradition, sainte Magdeleine a vécu les 30 derniers années de vie.
Depuis le 14 septembre 2016 nous habitons dans un appartement mis à disposition par le Grand Séminaire de Turin. Nous avons accueilli l’invitation à collaborer avec cette Eglise, avec les prêtres, pour la formation des séminaristes. Dans un esprit simple et fraternel, nous vivons notre vie religieuse en partageant avec eux différents moments de la vie quotidienne et en travaillant ensemble avec des familles qui donnent de leur temps pour la formation des futurs prêtres.
La prière partagée, la vie fraternelle, les moments de formation et de dialogue sont tous des instants privilégiés avec ces jeunes et leurs formateurs. Ensemble, nous vivons l’aventure de suivre Jésus pour être dans le monde des présences joyeuses auprès de ceux qui, croyants et non croyants, désirent connaitre et vivre son Evangile.
Notre fraternité est ouverte à tous ceux et celles qui désirent partager avec nous un moment de prière communautaire ou trouver un lieu pour la prière personnelle.
« Allez au milieu de ceux qui m’ignorent… portez-y l’Évangile non en le prêchant de bouche mais en le prêchant d’exemple, non en l’annonçant mais en le vivant. » Charles de Foucauld, Crier l’Evangile, 21-22
La Fraternité La Visitation présente à Tirana partage la vie des personnes qui est souvent marquée par la pauvreté et la souffrance. En rencontrant les habitants, en simplicité, les sœurs cherchent à connaitre davantage ce peuple, sa culture, son histoire, sa langue, et à créer des relations d’amitié en portant un témoignage évangélique.
Les sœurs désirent vivre l’invitation de Jésus tirée du récit de la Visitation comme Charles de Foucauld le médite. Marie et Elisabeth sont deux femmes qui, avec leur fragilité, leur pauvreté, se rencontrent et se donnent réciproquement l’une à l’autre. Ainsi, en Albanie, les sœurs souhaitent partager leur vie, sans prétention, en étant proches de ce peuple. En se mettant à l’écoute de l’Evangile, l’accueillant comme une parole quotidienne d’Espérance, elles aspirent à vivre la communion, le partage, la confiance et les gestes de charité fraternelle.
En Albanie, pays très proche de l’Italie et de l’Europe, diverses religions et confessions chrétiennes cohabitent. Mais, nous ne devons pas oublier les souffrances vécues durant l’histoire à cause notamment des différentes dominations et de la période du communisme qui a imposé l’athéisme d’Etat. La foi des Albanais, même vécue de manière cachée, n’a jamais manqué et l’Eglise a célébré en ces dernières années de nombreux martyrs albanais. Leur témoignage a donné la force d’aller de l’avant, malgré les difficultés et a renforcé le désir de transmettre le bien et de professer avec liberté sa propre religion.
Notre fraternité est ouverte à tous ceux et celles qui désirent partager avec nous un moment de prière communautaire ou trouver un lieu pour la prière personnelle.
Depuis plusieurs années, comme Disciples de l’Evangile, nous avions le désir d’ouvrir une fraternité sur la terre où Charles de Foucauld a passé les 15 dernières années de sa vie, témoignant de la bonté de Dieu et construisant des liens d’amitié et de fraternité universelle.
Ce désir s’est finalement concrétisé le 10 septembre 2021, une date surprenante, puisque 120 ans avant, jour pour jour, Charles de Foucauld débarquait en Algérie pour commencer son expérience missionnaire.
Nous vivons à Belcourt, dans un quartier populaire d’Alger. Notre maison a toujours été habitée par une présence religieuse (les Petites sœurs de l’Assomption, et parmi elles Sr. Paul-Hélène, une des 19 martyrs de l’Algérie et les petites sœurs de Jésus). Leur témoignage a laissé un souvenir profond et reconnaissant auprès des habitants du quartier. Nous aussi, selon notre spiritualité, nous souhaitons continuer à vivre l’expérience de frère Charles.
Sur son exemple et soutenues par les nombreux signes d’accueil, de générosité et bienveillance que nous recevons, nous nous intégrons dans cette réalité, en nous mettant à l’écoute de ceux qui vivent autour de nous, en cherchant à créer des relations simples de confiance et en s’engageant à apprendre la langue Darjà (arabe dialectal algérien).
Au début de notre présence ici, nous sentons aussi qu’il est important de nous laisser accompagner par l’Eglise d’Algérie, en particulier par la présences des laïcs et consacrés qui la composent. Cette Eglise, petite et universelle, cherche à être un signe de fraternité et de communion, en tissant des liens de solidarité et d’amitié avec le peuple algérien.